L’architecture d’une ville est d’émouvoir et non d’offrir un simple service au corps de l’homme.
John Ruskin
L’architecture d’une ville est d’émouvoir et non d’offrir un simple service au corps de l’homme.
John Ruskin
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Un blog ? Un de plus !…
Sur le patrimoine architectural de notre île ??!!
N’y a-t-il pas d’autres urgences, diront certains ?
Certes, mais n’y a-t-il pas également nécessité de défendre le patrimoine de La Réunion? De faire connaître ces éléments de notre histoire, de s’inspirer de ce que nos ancêtres ont fait de mieux dans le passé tout en se tournant résolument vers l’avenir, en s’ouvrant au monde, en promouvant une architecture qui tienne compte de notre relief, de notre climat, de notre art de vivre ainsi que des nécessités de la vie moderne ?
Des architectes, il nous en faut, mais en tant que citoyens, en tant que Réunionnais, nous avons notre mot à dire, notre vision à défendre, tant il est vrai que l’architecture est une chose trop importante pour la confier aux seuls architectes (1)…
R-D G
(1) cf. la célèbre formule de Clémenceau à propos des militaires.
hé oui c’est dommage d’abimer ce buste de victor mac auliffe , un grand homme, des graffitis ornent cette statue c’est lamentable on ne respecte plus rien.
Il y aurait deux manières au moins de rendre hommage à nos grands hommes, d’abord en faisant davantage connaître leur vie et leur oeuvre, en particulier dans nos écoles. On pourrait également dans ce cas précis protéger la statue des vandales en rétablissant la grille de protection qui se trouvait autrefois autour du monument à Victor Mac Auliffe. Pourquoi ne ferions-nous pas une pétition en ce sens?
Bonjour,
Grand amoureux de l’architecture créole de mon île, et grand lecteur de ce blog (même si je ne laisse pas de trace de mes passages) j’ai commençé mes études dans le BTP dans le but un jour de travailler dans le domaine du patrimoine. En visitant le site de la DAC OI, sur l’organigramme, j’aperçois que l’architecte des bâtiments de France, a sous sa direction divers postes de technicien, adjoint…..
Je me tourne donc vers les nombreux visiteurs de ce blog afin de savoir :
– Quel est le critère d’embauche de cette institution ?
– Quel diplôme doit-on avoir ?
– Y a-t-il des concours à passer ?
Lire et apprendre ne me font pas peur, Et même s’il n’embauche pas toutes les années. Savoir, aujourd’hui, ce qu’il me manque comme compétences, me permettra de les combler en attendant la prochaine session.
Vous remerciant d’avance pour vos réponses.
Et m’excusant d’avance si j’ai posté mon message au mauvais endroit.
Cordialement,
Laurent R
Le Musécole du collège Bourbon est composé d’un groupe d’élèves qui travaille à faire connaitre le passé de l’établissement au plus grand nombre, en faisant vivre les collections (inventaire, visites, expositions) et en participant aux Journées Européennes du Patrimoine depuis trois ans.
Cette année, nous recherchons plus particulièrement les témoignages de personnes ayant connu l’existence d’un cachot dans notre établissement. Nous attendons vos réponses avec impatience et sommes à votre disposition pour des visites du Musécole touts les lundi de 12h30 à 13h30.
Veiller nous contacter au numéro suivant : 02.62.90.45.45.
Chers amis du Musécole du Collège Bourbon,
L’un de nos membres est venu visiter le collège qui fut autrefois le Lycée Leconte de Lisle où sont passées de très nombreuses générations de Réunionnais… Il a été très surpris de découvrir grâce à vous le cachot du Lycée. Peut-être n’en savait-il rien car il était demi-pensionnaire. Il se peut que les pensionnaires étaient davantage au courant dans les années 1940-1950. À moins que l’utilisation du cachot ne remonte à une époque antérieure.Notre suggestion est donc de contacter d’anciens élèves pensionnaires. Nous vous souhaitons bon courage et pleine réussite dans vos recherches.
je suis toujours désolée de voir dépérir dans l’indifférence des traces du passé réunionnais et cela ne concerne pas que les bâtiments emblématiques. Lorsqu’une case et son terrain sont en déshérence , comme très souvent, depuis des années ce n’est pas que le patrimoine bâti qui est en danger et la préservation des savoirs-faire. C’est aussi tout ce qui s’installe dans ces lieux au fil des années. ces friches sont aussi aujourd’hui en elles-même des richesses car la biodiversité s’y est installé. pas seulement les rats et les couleuvres mais des plantes qui reviennent grâce aux oiseaux plus nombreux, des espèces animales minuscules ou plus visibles comme des papillons rares qui y trouvent refuge. Ces lieux en quelque sorte sont devenus des sanctuaires où se réfugient des espèces en danger dans nos villes surchauffées et bétonnées
ce sont aussi des espaces de respiration urbains, des couloirs verts. Que fait-on pour les protéger ? RIEN Au contraire les promoteurs et la mairie redoublent d’imagination pour y implanter des immeubles laids et sans âme, qui plus est contraire à toutes les règles de préservation environnementale et de lutte contre le réchauffement climatique
Si nous décidions de faire pour ces friches comme on le fait pour tout chantier : avant tout démarrage de travaux faire venir des scientifiques pour faire tous les relevés nécessaires de la biodiversité qui s’y est installé. exiger dans le même temps que tous ces anciens territoires de peuplementHORIZONTAUX, s’ils doivent être remplacés par des immeubles soient conformes aux exigences actuelles pour préserver notre ile des dérives du réchauffement ! (appartement traversant, jalousies, arcades et végétalisation pour rafraichir les abords. OUI nous recherchons désespérément de l’ombre et de la fraicheur dans nos villes
ces quelques espaces qui restent, très convoités par les investisseurs doivent être l’occasion de se réapproprier ces espaces et d’en valoriser la richesse
MERCI
Babette
Bonjour. Je voudrais utiliser la photo représentant les enfants de l’îlet à Guillaume (photo cssp) dans une vidéo que je veux poster sur Youtube. Est-ce une photo libre de droits? Merci d’avance de me répondre.
Cher Monsieur,
Je viens de prendre connaissance de votre mail concernant les photos des enfants du Pénitencier de l’îlet à Guillaume:
Nous ne sommes pas propriétaires des droits sur ces photos qui font partie des archives de L’Évêché.
Le mieux est que vous preniez personnellement contact avec l’Évêché, rue de Paris à Saint-Denis.
Cordialement,
il est fort dommage que l’on ne peut pas partager vos articles sur fb par exemple.
Désolé, nous n’avons pas de lien direct sur FB. Il suffit de copier le lien en cliquant sur le titre (bouton droit) puis coller sur votre page FB pour partager.
Bonjour,
Je suis Gilles Dumur, photographe et je désire utiliser votre article intitulé « Histoire des douze sentinelles » écrit par M. Marie-Claude DAVID FONTAINE, pour illustrer mes propres images des guetteurs du volcan.
Puis-je avoir votre autorisation? Merci de votre retour.
Cordialement
Gilles Dumur
Bonjour. Certaines pages de l’histoire de la Réunion ne sont pas très médiatisées. Par exemple ce qui s’est passé dans les années 60-70:des milliers d’avortements pratiqués sans le consentement des femmes enceintes, parfois à 6, 7 ou 8 mois de grossesse. L’horreur absolue. C’est dommage que le livre « le ventre des femmes », qui parle de ce scandale, ne soit pas plus mis en avant. L’histoire du bagne pour enfants de l’îlet à Guillaume aussi est « passé sous silence ». Un site inscrit au titre des monuments historiques qui est laissé à l’abandon. L’historien Bruno Maillard (Criminocorpus/1770, « ils sortiront des hommes ») déclare que les conditions de détention des petits malheureux étaient proches de celles des camps d’Hitler et de Staline.